• Le chœur patronal, maintenant accompagné de certaines organisations syndicales, nous explique que le financement de la protection social pénalise l'emploi en augmentant le coût du travail. Pourtant , le travail n'est pas plus cher en france qu'ailleurs, il l'est moins qu'en Allemagne, par exemple.


    La CFDT explique que cette protection sociale devrait être financée par le capital. Certes, mettre le capital à contribution, le forcer à restituer un peu de ce qu'il a spolié ne serait pas une mauvaise chose.


    Mais les cotisations sociales, c'est du salaire, différé, mais du salaire quand même.
    Les supprimer, c'est voler les salariés pour faire un nouveau cadeau au capital, qui n'a jamais été si bien nourri !!! Ca ne créerait aucun emploi; aucun cadeau au patronat ne l'a jamais fait !


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  • pcchile-copie-1Le Parti communiste chilien rend hommage à Salvador Allende trente-neuf ans après son exécution

    « Ses idées sont toujours présentes dans nos luttes quotidiennes »

    Traduction MA pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

     

    Ce 11 septembre 2012, c'est devant le monument consacré à Salvador Allende que se sont réunis plusieurs organisations sociales et politiques pour rendre hommage au président mort il y a 39 ans au palais de la Moneda.

     

    Une délégation du Parti communiste était au premier rang, menée par son président, le député Guillermo Teillier, et comptant également sur le député Lautaro Carmona et d'autres dirigeants d'organisations de défense des droits de l'Homme, professeurs et travailleurs.

     

    En déposant une gerbe, Teillier a prononcé le discours suivant: « Le président Salvador Allende est entré dans la Moneda par la grande porte, dans les bras de son peuple qui lui a réservé un triomphe historique, plein d'espoir, avec l'idée de construire une Patrie plus juste, égalitaire, solidaire et démocratique. Le monde entier a focalisé toute son attention sur la présence de Salvador Allende à la Moneda, la présence de ministres ouvriers, du peuple dans le gouvernement Chilien et la présence du peuple discutant et analysant la façon de construire une société meilleure.

     

    « Mais, avant même d'entrer dans le palais de la Moneda, il suscitait déjà la haine des États-Unis, des grandes multi-nationales qui en ce temps-là étaient maîtres de toutes les richesses naturelles du Chili ainsi que d'une grande partie de la droite et du patronat national qui entama sans attendre une grande campagne de déstabilisation de son gouvernement. Un des premiers actes criminels qu'ils commirent, avant que Salvador Allende accède au pouvoir, fut l'assassinat du général René Schneider.

     

    Une poignée de militaires ambitieux, hauts gradés des forces armées, crurent que le coup d’État était le moyen de préserver ces intérêts et Salvador Allende qui était entré par la grande porte de la Moneda en est sorti en ayant donné sa vie pour le peuple du Chili, porte Morandé 80. Certains ont pensé qu'à partir de là Allende tomberait dans l'oubli, or, en sortant par cette porte, il est entré dans la grande porte de l'histoire.

     

    Salvador Allende a été le président le plus remarquable, le plus noble dans ses sentiments et le plus fidèle au peuple du Chili. Aujourd'hui, quand nous nous disons que faire, nous disons : les idées de Salvador Allende sont présentes dans nos luttes quotidiennes et pas seulement au Chili, mais dans le monde entier, les idéaux que portait Salvador Allende sont des idéaux d'avenirs et qu'aujourd'hui ont fait siennes non seulement les chiliens et surtout sa jeunesse, mais aussi d'autres peuples qui ont remporté des victoires comme celles que Salvador Allende aurait aimé conquérir pour sa patrie. Aujourd'hui, quand nous réfléchissons, nous disons que devons être capables d'ouvrir de nouveau cette potentialité pour le peuple du Chili, c'est-à-dire que nous devons de nouveau être capables de forger l'unité, de porter des propositions pour que le peuple Chilien croie à nouveau dans la politique et dans sa capacité à décider lui-même de son destin ». (…)

     

    « Voilà pourquoi nous luttons, c'est pour cela que nous continuerons à lutter et que nous souvenons aujourd'hui de Salvador Allende et nous continuons d'avancer avec ses idées vers la victoire »,a conclu Guillermo Teillier.


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  • Ariane WALTER
     

    "L'agenda social est oublié par le Président" Lors de son interview sur TF1, la chaîne de Bouygues, l’ami de Sarkozy, Hollande avait, à droite de sa tête, une Tour Eiffel dont la lumière tournante, parfois, clignotait.

    Je dois avouer que cela m’a rappelé ce fameux Mordor, la tour du sorcier Saruman, lequel a décidé, grâce aux créatures maléfiques qu’il invente, d’anéantir les peuples des Elfes, des hommes et des Hobbits.

    Je trouve très symbolique qu’on ait l’impression, au moment où parle celui qui représente l’Etat français, qu’une lumière lointaine l’ait à l’oeil, celle des maîtres cachés qui veulent mettre l’Europe à Sachs.

    D’où sans doute son omission étonnante : il n’a pas parlé du TSCG. Nul doute, eût-il prononcé ce nom fatal dont le peuple ne doit rien connaître, qu’il eût été aussitôt foudroyé. Il est vrai que m’dame Chazal ne lui a pas posé la question ce qui prouve qu’après avoir servi Sarkozy, elle sert Hollandozy.

    M. Hollande est donc le président de la République Française …Je préparerai un casting pour un film dans lequel il y aurait le président de la république et on me montrerait un comédien comme Hollande, je ne l’écouterai même pas deux secondes. « Au suivant » . C’est ce que les classiques appellent la règle de la vraisemblance.

    On nous le présente comme un homme brillant, intelligent, spirituel, diplômé d’une grande école. Il cache bien son jeu. Pourquoi veut-il paraître hésitant, apeuré, même devant les questions de m’dame Chazal qui n’a rien d’une Gorgone médusante. Comme m’dame Chazal a besoin, sur le plateau, d’un éclairage violent qui lui donne un teint laiteux, ce pauvre Hollande est transformé en petit marquis poudré aux lèvres roses.

    Pour donner une idée de la forme, le fond étant une autre tragédie.

    On nous dit que M. Hollande écrit lui-même ses interventions. Qu’il l’évite. Il n’a le sens ni de la formule, ni de l’audace, ni de l’enchaînement, ni du rythme, ni de la pensée. Il ne sait convaincre que sa famille proche et ceux qu’il nourrit.

    Il a l’air de quelqu’un coincé contre un mur et qui joue sa peau. C’est peut-être ça. Peut-être lui a-t-on fait peur dans les coulisses ? Il vient réciter sa leçon. Il trébuche parfois sur les mots. Il surjoue la confiance en soi, ce qui ne rassure pas. Je le trouve surréaliste dans la mesure où les surréalistes avaient dit : « Tout le monde peut être poète ». He bien maintenant on saura que n’importe qui peut être président. Mais ça se voit.

    Que lui a-t-on dit de nous dire ? (Flash au sommet de la tour.)

    M’dam Chazal, (Excusez-moi, j’ai encore dans l’oreille le phrasé délicat de notre précédent président), m’dame Chazal, donc, l’attaque , tel un dragon médiéval à bouclettes, et lui dit « Il y a du désamour pour vous. Certains disent cent jours pour rien. »

    Grosse vilaine. Qu’est-ce qu’elle cherche, là ? On lui a pourtant dit, comme dans un match de catch, de faire simplement semblant !

    Mais Hollande répond au demeurant fort bien, vu son niveau, affirmant qu’il a agi rapidement avec l’augmentation du smic d’un carambar et surtout, surtout, la baise de six centimes à la pompe !

    Il a donc agi et il va encore plus agir car il annonce :

    « J’ai UN CAP et un AGENDA. »

    (« Un cap, que dis-je un cap , c’est une péninsule ! » Souvenirs d’un temps où les hommes sur scène savaient parler.)

    Il est beau avec son cap et son agenda ! Imaginez la scène suivante : vous avez un petit copain depuis peu et ce dernier, au plumard, vaut un smic et six carambars. Comme vous lui en faites la remarque il vous répond : « Oui, mais j’ai un cap ( Que veut-il dire ? Une capote ?) et un agenda,(D’autres rendez-vous ? Impossible.) et tu jouiras dans cinq ans. » Qu’est-ce qu’on fait ? Va-t-on le garder 5 ans ? Même s’il déclame :

    « Je suis en situation de combat. Je dois engager l’avenir » Pour la situation de combat, c’est un peu mou. Pour « engager l’avenir », c’est un peu cliché, peu de gens voulant engager le passé.

    Mais passons aux promesses. Qui n’engagent dit-on que ceux qui les croient mais hélas, aussi, ceux qui ne les croient pas et doivent quand même les subir
    .
    Première promesse : laisser les ouvriers de PSA se débrouiller ainsi que les partenaires sociaux. Pour arriver à un accord « gagnant-gagnant ». C’est ce que voulait faire son ex, Ségo, qui avait été traitée de tout. Tant d’années pour si peu de progrès. Notre pays qui a chopé un cancer des bourses ne risque pas de guérir avec ce remède d’âne. D’autant plus que laisser face à face un tigre et un bambi et leur dire : « Arrivez à un accord « gagnant-gagnant », on sait ce que ça veut dire : le tigre gagne un repas et le bambi un repos éternel à l’ANPE. Il faut connaître le sens des mots.

    Mais, nous dit Théoden, ce roi du Rohan qui a un air passablement shooté, conseillé par Merkel-Grima langue de serpent, la walkyrie du Mordor : « II y aura à la fin de l’année un compromis historique. »

    Si j’étais M. Théoden, je me méfierai de ce mot, « compromis », qui a quand même dans notre langue un sens quelque peu péjoratif. Et du mot « historique » qui peut avoir deux sens : « une panade historique » étant aussi envisageable.

    On en vient tout de même aux chiffres. Il faut trouver 33 milliards. Il dit ça calmement. Ce qui n’affole personne car on entend sans cesse parler de banques qui donnent aux banques des milliards de milliards. On est donc habitué. Ca n’impressionne plus. Ce sont leurs carambars à eux.

    L’Eta va payer dix milliards. Les entreprises dix milliards. Les ménages dix milliards. Et Arnault trois milliards. (Je suppose car, partant de 33 milliards, si j’ai bien compté, Hollande n’en a levé que trente.) Lequel Arnault a fait une conférence sibylline avec ses airs de Pythie de la Moria, pour dire qu’il ne partirait pas tout en partant sans partir si on le faisait rester. Bref un financier. Il joue son départ à la baisse après l’avoir joué à la hausse. Tout le fric sera pour lui. Qu’il en profite vite car il n’a pas bonne mine. Un vrai Gollum.)

    C’est alors que Hollande fait appel au patriotisme de tous. On le sent quand même à court d’argument. Et ce n’est pas la phrase suivante qui va nous rassurer :
    « En 2017, nous vivrons mieux qu’en 2012. »

    Au paradis, oui.

    Telle est donc la position de Théoden le zombie, face aux clignotements de Sauron. Il est quand même fier de lui. Il va vers une république exemplaire. Certes son gouvernement fait des bourdes, mais ils n’ont jamais été ministres. Ou il y a longtemps. (Quand je vais chez le garagiste, si je sors un pneu mal serré et qu’on me dise : « le petit débute », ça ne me rassure pas trop quand même. Et là, au plus haut niveau de l’Etat… Ca me fait penser à M’dame le Pen qui, comme on lui faisait remarquer qu’elle rentrait tard de vacances, répondait avec autorité qu’elle s’occupait de la rentrée de ses enfants. Excellente excuse qu’avait aussi sortie Blucher quand il était arrivé en retard à Waterloo : il s’occupait des cours d’équitation de son cadet. )
    Mais ne soyons pas mauvaise langue. Hollande-Théoden le répète trois fois : il s’est préparé. Comme si c’était un gage de réussite ! Moi j’en connais beaucoup qui se préparent pour les jeux Olympiques et qui finissent devant leur télé ! Et pas dedans !
    Mais nos amis socialistes le disent assez : « Attendons avant de juger ! »Attendons 5 ans. Et pour la marche à la Bastille il faut changer la date : ce sera le 30 septembre 2017.

    Une heure avant, sur LCI et RTL, Mélencharagorn, bataillait avec l’orque Chapuis, l’Uruk-hai Revel et le Balrog Brezt du Figaro, remplaçant du maître Balrog Apathie.

    Ah ! C’était un autre rythme !

    Mélencharagorn qui rentre d’un séjour chez les elfes d’Amazonie nous revient dans une forme éblouissante qui lui a permis, une heure durant, de laminer le trio de ses coups. On lui avait tendu un piège, l’invitant devant la porte du destin de LCI, il a joué d’estoc et de taille découpant ses adversaires au laser. Il faut dire qu’il se bat avec l’énergie du désespoir. Il a l’art de réveiller notre mollesse et nos acceptations de race décadente. Il nous fouette de ses images « On est comme en 1929 ! Dans les rues de la cinquième puissance du monde, huit millions de pauvres ! » ( Lesquels huit millions devront donner 10 milliards ! On se sent quand même très inquiet ! Combien y aura-t-il de sdf dans les rues en 2017 quand tout ira mieux ?)

    « Et nous on continue sur notre petite musique ! » Comme le Balrog agite tout à coup les banques et les agences de notation, Mélencharagorn lui troue les tripes en lui disant : « Ce sont des tigres de papier ! » Théoden en prend pour son grade : « Son échelle des impôts ne ressemble à rien. On ne passe pas de 45% à 75 % ! Ce n’était qu’un effet d’annonce et maintenant, il ne sait pas comment s’en tirer. Retirer 30 milliards d’euros du budget national, c’est de la folie ! » Donc nous sommes gouvernés par un fou du Mordor. On s’en doutait un peu. C’est dit.

    On entre dans la Moria. La voix de Mélencharagorn fait frissonner les voûtes. « La vie de tous les jours est un dressage à la violence sociale ! Les élites sont pourries par l’importance accordée à l’argent ! Je suis dans la vérité ! Ce monde doit changer. Sinon, il est perdu ! A un moment l’orque Chapuis, très chafouin , lance une question comme un boulet :

    - Mais pourquoi, vous qui dénoncez l’Europe, voulez-vous rester dans l’Europe ? Ah ! » Mélencharagorn prend son élan, saute du haut d’un grand rocher, et mord l’oreille de Chapuis qui grimace : « Je suis pour le rapprochement des peuples ! Je suis partisan de l’harmonisation sociale de l’Europe. Je suis pour un salaire minimum européen. L’Europe est la première puissance économique du monde. Elle doit être notre arme pour mieux vivre et non une arme pour nous tuer. Il faut échapper à Demonia Merkel et à la maladie sénile de l’Europe ! »

    Mais Revel, l’uruk-kai, ne se laisse pas faire ! Avec l’aide de l’orque Chapuis, il jette Draghi-Sauron à la tête de Mélencharagorn ! Draghi ne vient-il pas d’aider l’Europe en permettant à la BCE d’acheter les dettes des Etats ? Et sans limites ? Grand rire de Mélencharagorn qui jette la lance de son éloquence entre les yeux de ses assaillants : « La BCE rachète des titres de la dette aux banques et non aux Etats. Imaginez ce qui se passe : une banque X a prêté du papier à la Grèce à 8%. Que la BCE lui avait prêté à 1%. Et elle est très inquiète de ne pas rentrer dans ses frais. Très ravie donc quand la BCE lui prend le papier pourri pour lui donner des euros tout neufs. » Mais il y a deux arnaques là dedans : d’une part, la BCE rachète sur le marché secondaire. D’autre part les pays qui acceptent doivent se mettre à genoux devant les retraités allemands, prêts à satisfaire leur libido vieillissante ! Quel spectacle ! « Draghi, c’est Trichet en pire ! Il vient de mettre un coup de poignard dans le dos de L’Europe ! » Draghi est Sauron le maudit, de la clique des Sachs Saruman qui veulent la mort des Hommes et des hobbits SDF, sans compter les Elfes poètes dont Mélencharagorn est l’ami !

    C’est alors qu’il est question de la marche du 30 septembre contre le TSCG.
    L’Uruk-hai Revel tente un coup de Jarnac : Mélenchon pense-t-il que Hollande va reculer ? Réponse : « Oui . Que peut-il faire d’autre face à un peuple qui l’a élu et qui lui dit « François, tu te trompes ! » Choisis-nous, nous pour gouverner ! Nous sommes plus prêts que toi ! »

    Là, certains feront remarquer que Mélencharagorn a trop fumé de l’herbe de la forêt de Fangorn. Mais non, amis, c’est un effet de style ! Il indique une voie qui est paradoxalement la seule possible. Car quand un fou indique la falaise et dit au peuple : « Sautez ! », celui qui dit : « Ne sautez pas » a tout de même quelques chances d’être entendu !

    Et il finit dans un mouvement immense de cape, pourchassant les vampires de nos doutes : « Oui, il écoutera le peuple . Si nous ne croyons plus à la démocratie, faut-il en venir aux armes ? (ben…) Je crois à la démocratie ! »

    Est-ce une phrase prononcée sur le tombeau de la Belle ?

    Et Mélencharagorn lance son appel aux Ents syndicalistes de Fangorn, aux Hobbits Sdf et aux hommes aux yeux ouverts . Il leur dit : « Debout pour le 30 septembre ! Ca suffit les patrons-voyous !

    Et comme le Balrog tente un dernier coup de massue : « Etes-vous un allié de M. Hollande ? » la réponse sonne, claire : « Le Fdg est l’allié du peuple. »

    Bref, sur une chaîne, Palmade et Laroque dans « Ils vont vous baiser » et sur l’autre, de l’épopée dans la série, « Le seigneur de la révolution ».

    Attention, attention, un nouvel épisode incroyable s’annonce-t-il ? Une phrase rapide, à la fin de l’émission, le laisse entendre : les élections d’Hénin-Beaumont risquent-elles d’être annulées ? Mélencharagorn va-t-il retrouver Arachnéa ? Arachnéa aura-t-elle fini de s’occuper de ses enfants ? Serons-nous encore vivants pour assister à ce combat ? Le peuple va-t-il sauter du haut de la falaise ? Théoden va-t-il se réveiller ? Gollum va-t-il partir à Bruxelles ? L’armée des morts, jetés aux tombeaux par les guerres des puissants, va-t-elle renaître pour aider l’armée des vivants à ne pas subir le même sort ?

    Peuples de la terre du milieu, debout !

    Le 30 septembre à la Bastille ! Le casting est ouvert à tous les hommes de bonne volonté !

    Jouez un rôle dans l’Histoire de votre vie pour que ce soit une belle vie ! Jouez dans « le retour du Roi Démocratie » !

    http://www.rtl.fr/actualites/politique/article/jean-luc-mele...

    La photo représente le fleuve bleu devenu rouge . On en cherche les raisons.

    Ariane Walter

    URL de cet article 17683
    http://www.legrandsoir.info/melenchon-hollande-et-le-mordor.html

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  • Souviens-toi du 11 septembre 1973 au Chili...


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  • La direction générale de PSA a décidé de suspendre le licenciement début septembre d’une salariée de l’usine de Valenciennes (Nord), accusée d’avoir volé pour trois euros de matériel, a annoncé mardi son porte-parole.

     
    photo d'illustration

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    La direction générale de PSA a décidé de suspendre le licenciement début septembre d’une salariée de l’usine de Valenciennes (Nord), accusée d’avoir volé pour trois euros de matériel, a annoncé mardi son porte-parole.
    «La direction générale de PSA n’était pas au courant de cette décision (prise par la direction de l’usine de Valenciennes, ndlr). Elle reprend le dossier et va le réexaminer très rapidement. Un point sera fait dans les meilleurs délais et dans cette attente la sanction est suspendue», a déclaré le porte-parole.
    La CGT avait annoncé lundi le licenciement de la salariée - ayant un an et demi d’ancienneté - qui aurait gardé dans son sac avant les congés d’été deux raclettes pour nettoyer le sol, d’une valeur de 3,07 euros.
    «Elle changeait de poste et elle a voulu garder son matériel, car avec les restrictions de budget il est difficile d’avoir du matériel, d’où la présence de ces deux raclettes dans son sac. Un salarié l’a dénoncée», avait affirmé le secrétaire du syndicat CGT Cédric Brun.
    Ce dernier avait dénoncé un «licenciement abusif» qui s’ajoute aux «pressions» subies par l’ensemble des salariés depuis l’annonce de 8.000 suppressions d’emplois au sein du groupe.
    La direction de PSA Valenciennes avait de son côté indiqué que cette salariée qui avait la «responsabilité de conduire une ligne de machines dans l’atelier (...), avait fait l’objet d’une procédure de licenciement pour avoir soustrait des objets qui appartenaient à l’entreprise».
    «Ce geste remet clairement en cause la confiance qui lui était attribuée», avait-elle souligné, sans indiquer le montant du préjudice ni la date à laquelle les faits auraient été commis.
    Le site PSA de Valenciennes, qui emploie 2.300 personnes, fabrique 1,5 million de boîtes de vitesse par an.

    http://www.estrepublicain.fr/fil-info/


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  • "La Lettre volée"Qu’attendre d’une politique de gauche, si ce n’est qu’elle remette le monde sur ses pieds ?

    L’entretien que nous a accordé Joseph Stiglitz est assez exceptionnel, et nous sommes fiers de le publier. Revenant en lien avec l’actualité sur l’affaire Bernard Arnault, il rappelle ceci, qui paraît de bon sens mais qui n’est pas partagé par tous, dont le Medef, que, lorsqu’un grand patron gagne beaucoup d’argent, il le doit d’abord à un pays, un État, une communauté nationale. Eh bien, oui, pour que des entreprises tournent, il faut des routes, des trains, des salariés formés par l’école et l’université, un système de santé… Les dogmes des baisses de charges et du coût du travail aboutiraient, s’ils ne trouvaient devant eux aucune résistance, rien de ce qui s’appelle au fond et, de fait, objectivement, la lutte des classes, à ce que des entreprises tentent de produire dans le désert des Tartares.

    Mais il y a encore, dans cette histoire Bernard Arnault, quelque chose qui tient de la Lettre volée, la célèbre nouvelle d’Edgar Poe. Tout le monde cherche la lettre, que l’on croit cachée, mais elle est là, précisément, en évidence. Or, il y a aujourd’hui, au centre de nos sociétés, posée là, devant nous, une évidence obscène mais que nous ne voyons pas comme peut-être nous le devrions : comment peut-on être riche de 32 milliards d’euros et qu’est-ce que cela veut dire, si ce n’est que l’on a exploité le travail d’autrui, que l’on a spolié autrui et la société dans laquelle on vit ? « L’un des sujets de mon livre, déclare Joseph Stiglitz, c’est que la plus grande richesse des riches ne vient pas de leur contribution à la société. Ils n’ont pas inventé le transistor ou le laser, ils ont pris l’avantage sur d’autres. » De ce point de vue, les arguments de la droite pour dénoncer la taxation à 75 % des revenus au-dessus d’un million d’euros sont à la fois d’un cynisme misérable et intellectuellement pitoyables. Il s’agit d’un million d’euros, 80 000 euros par mois. On vit avec ça, non ? Il est heureux, de ce point de vue, que François Hollande ait confirmé son engagement quand ça chipotait et spéculait tant, les jours précédents.

    Mais ce n’est malheureusement que l’écume de la grande vague ultralibérale qui a déferlé sur nos sociétés et aboutit à la crise que nous connaissons. « Les banques, dit encore Joseph Stiglitz, ont affaibli l’économie en prenant l’argent en bas de l’échelle sociale pour le mettre en haut. » Qu’attendre d’une politique de gauche, si ce n’est qu’elle remette le monde sur ses pieds ? On pressait de toutes parts, la semaine passée, le président de la République d’aller plus vite. Mais pour aller où ? Pour le Medef et la droite, c’est clair. Aller plus vite, c’est venir sur leur terrain de régression sociale. À gauche, pour tous les électeurs qui ont fait le changement, qui ont élu le président de la République, c’est aller vers plus de justice sociale, plus de sécurité dans la société, certes, mais plus encore sans doute dans l’emploi.

    Il faut bien le dire, c’est cela qui manquait, dimanche soir, sur TF1. François Hollande a confirmé, sans même évoquer le traité européen tel qu’il va nous contraindre et peser, comme un talon de fer, le choix 
de l’austérité. Mais, là aussi, les analyses du PCF, du Front de gauche, de centaines d’économistes que nous relayons ici même rejoignent celles du prix Nobel d’économie aujourd’hui dans nos colonnes. « On a expérimenté de telles politiques d’austérité des dizaines 
de fois et, quasiment chaque fois, cela a été un échec. » Il faut en finir avec la spirale dette, austérité, perte de croissance, et donc augmentation de la dette… Et puisque nous sommes à quelques poignées d’heures, désormais, de la Fête de l’Humanité, on ne doute pas que cette exigence sera son cœur.

    Maurice Ulrich


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  • Lire les Pinçon-Charlot est toujours utile : Ils sont précis, rigoureux, posent les questions utiles et apportent les bonnes réponses. Dans ce dernier ouvrage, ces grands connaisseurs de ceux qu’ils appellent « les riches » expliquent comment l’argent est devenu, par-delà tous les principes moraux ou religieux, et en se jouant des droits des personnes, la valeur suprême de nos existences individuelles et collectives.

    Pour les auteurs, le monde est divisé en trois classes : un prolétariat qui subit des formes d’exploitations de plus en plus brutales, des classes moyennes, précarisées, divisées et déboussolées par la prétendue « crise », et la classes dominante, celle qui a gagné – comme disait Warren Buffet – la « guerre » des classes parce qu’elle est solidaire, organisée, et parce que, selon une approche sartrienne, elle est « la seule classe sociale en soi et pour soi. » Aux États-Unis, tout à commencé avec la fin de l’indexation du dollar sur l’or décidée par Nixon, lorsque la devise devint une monnaie de singe, ouvrant au pays la voie de la domination du monde. À la même époque, en France, une loi de janvier 1973 interdit à la Banque de France de prêter à l’État, ce qui permit aux marchés financiers d’accaparer les intérêts des emprunts publics. Depuis la loi du 4 août 1993, à la fin du second mandat de François Mitterrand, la Banque de France est indépendante. Autrement dit, privée.

    La création de la monnaie, de plus en plus en plus scripturale, fut désormais l’apanage des banques privées, et aussi de la grande distribution. Lorsqu’un client demande à sa banque un crédit de 200 000 euros pour acheter un appartement, cela ne signifie pas que la banque va chercher de l’argent dans ses coffres : elle crée 200 000 euros par une simple écriture comptable. L’argent proliférant, l’argent créé en dehors de toute vraie production de richesses, s’est dès lors émancipé du corps social. Avec les machines qui passent des ordres en quelques microsecondes sans qu’aucun humain n’intervienne, l’argent est devenu asocial au sens où il circule de moins en moins dans le reste du corps social. C’est alors qu’il y eut « sécession » (Thierry Pech) entre les riches et les pauvres (Ces gredins nos maîtres). Les transactions sur les produits dérivés et les autres produits financiers spéculatifs ont été 74 fois plus importants que le PIB mondial en 2008 (15 fois en 1990). Les grandes banques françaises consacrent aujourd’hui 80 % de leur potentiel à la spéculation et seulement 20 % à la gestion des dépôts, salaires et pensions de leurs clients ordinaires. Les « riches » prennent bien soin, cela dit, d’investir aussi dans l’économie réelle. C’est pourquoi, par exemple, ils n’ont pas souffert de la crise des subprimes qui a ruiné les classes moyennes étatsuniennes. Les agences de notation (comme Fitch, la française, qui appartient à Marc Ladreit de Lacharrière) sont utilisées aujourd’hui comme une arme au service de la puissance des marchés financiers, c’est-à-dire de spéculateurs en chair et en os, pour soumettre les politiques et les peuples à leur cupidité.

    La raison pour laquelle les dirigeants des grandes entreprises sont désormais à la fois excellemment bien rémunérés et, en même temps au service étroit des intérêts des actionnaires, c’est que, justement, une bonne partie de leur rémunération est versée sous forme d’actions, pire de stock-options. Leur intérêt n’est pas la santé objective des entreprises qu’ils dirigent – et évidemment pas celle du « capital humain » – mais leur valeur en bourse. Il leur faut donc, sans même nécessairement créer de la richesse, baisser le « coût » du travail, pousser les gouvernants à réduire les déficits et équipements publics. Ces gouvernants, sociaux-démocrates au premier chef (la Bourse ne s’est jamais aussi bien portée que sous le gouvernement Jospin en 2000), font le « sale boulot » en détruisant les protections sociales, en réduisant légalement les droits des travailleurs, en privatisant les biens publics. Ils sont pilotés par des structures plus ou moins formelles comme le Forum de Davos, le groupe de Bilderberg où la Commission trilatérale. Commission fondée en 1972 à l’initiative du banquier et industriel David Rockefeller, elle fut longtemps dirigée par le conseiller de Jimmy Carter Zbigniew Brzezinski, proche de Henry Kissinger. Parmi ses membres français, on compte François Bayrou, Nicolas Beytout, Patrick Devedjan, Laurent Fabius, Henri Proglio, Hubert Védrine (membre du CA de LVMH, comme son « camarade » socialiste Christophe Girard), Élisabeth Guigou (vigiinfos.canalblog.com). Cette dernière retrouve Mario Monti, Michel Barnier ou Pascal Lamy au conseil d’administration du think tank des Amis de l’Europe. On se souvient qu’après la démission de Michèle Alliot-Marie lors de la crise tunisienne, elle fut mise en cause pour son amitié pour Aziz Miled, l’un des financiers de l’Ipemed (Institut de prospective économique du monde méditerranée), dont elle démissionna sans tambour ni trompette.

    La « guerre » des classes est à ce point gagnée par les « riches » que la banque Goldman Sachs peut, sans la moindre vergogne, placer ses hommes à la tête des gouvernements (Mario Monti, Lucas Papademos) et, mieux encore, de la BCE (Mario Draghi). Le triomphe des « riches » est tel qu’un groupe comme LVMH peut posséder 140 filiales dans les paradis fiscaux tandis que les avoirs des familles françaises en Suisse sont actuellement de 80 milliards d’euros. On mettra ce chiffre en regard avec le déficit public de la France en 2011 (91 milliards) ou avec le « trou » de la Sécu (17 milliards), cette construction purement politique et idéologique. Pourquoi les pauvres et les classes moyennes votent-ils à droite ou, au mieux, pour des socialistes complices ? Parce que, selon les auteurs, subissant la violence symbolique, ils ont intériorisé l’idée que les dominants sont à leur place et que le capitalisme libéral est désormais la seule nature possible de l’économie. Un vrai changement présuppose un éveil des consciences et une acceptation de valeurs contraires à celles de l’hyperbourgeoisie au pouvoir. Les choses peuvent rester en l’état pendant encore très longtemps. La classe politique est intimement liée au monde des affaires. Les employés et les ouvriers, qui représentent 52 % de la population active, sont quasiment absents des assemblées parlementaires.

    Cela crée une grande violence symbolique qui explique, pour partie, l’accroissement du vote FN chez les plus défavorisés, dont le nombre a grossi sous Sarkozy : 800 000 enfants français ne peuvent pas prendre un repas protéiné tous les deux jours, ni être chauffés correctement. L’État s’appauvrit par la volonté des politiques, au point que le prochain siège du ministère de la Défense appartiendra à Bouygues. En attendant la suite...

    Michel Pinçon & Monica Pinçon-Charlot, L’argent sans foi ni loi. Conversation avec Régis Meyran, Paris, Textuel, 2012.

    bernard-gensane.over-blog.com


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  • C’est hier au soir à 20h que j’ai appris la nouvelle de ce terrible et nième attentat en Syrie où l’horreur du jour le dispute chaque jour à l’horreur de la veille. 30 morts pour une bombe placée devant un hôpital dont le tort est de soigner des hommes majoritairement des militaires du régime. Une bombe aveugle tuant civils soignants ou blessés sans défense ne pouvant s’échapper et pour cause. Un acte de sauvagerie inacceptable quels qu’en soient les auteurs.

    C’est hier au soir à 20h que j’ai appris que le président de Bricorama avait envoyé une lettre ouverte, dont la presse du jour s’est largement fait l’écho, lettre au chef de l’état pour demander une nouvelle extension du travail du dimanche sous prétexte que le bricolage est un loisir national. C’est bien la 1ère fois que l’on essaie de nous faire croire que le travail de vendeur de supermarché est un jeu, une détente. Drôle de société dans laquelle plus l’emploi devient rare, plus celles et ceux qui ont les rênes du pouvoir essaient de nous contraindre à travailler plus vieux, plus longtemps dans la semaine, plus de jours dans l’année.

    C’est hier au soir à 20h que dans la soirée du 713 jour d’occupation de l’usine Fralib Omar, Marc, Denis et Antoine rêvaient ensemble de comment ce sera après. Après la victoire et la reprise qui suivra. Et les voilà tous les 4, dans l’usine enfin déserte ou presque, à tirer calmement autour d’un verre des plans sur la comète sur comment cela pourra être une fois que l’on aura enfin pris les commandes de nôtre usine. « On pourra être 300, avoir de vrais CDI payés décemment. Une fois débarrassés d’UNILEVER, on pourra être un espoir, un symbole pour toutes celles et tous ceux qui en France se battent pour l’emploi. » Et le rêve éveillé s’est prolongé tard dans la nuit.

    A part ça je ne vois pas ce qui a bien pu se passer d’important hier au soir dimanche 9 septembre à 20h…

    http://www.rougemidi.fr


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  • STOP AUX DISCUSSIONS STERILES PRONEES PAR LA GAUCHE CAVIAR. L'URGENCE POUR LA CLASSE OUVRIERE, C'EST D'OEUVRER POUR METTRE SUR LES RAILS LE TRAIN DES LUTTES !

    LES NEGOS BIDONS, ON N'EN VEUT PLUS !

    PLACE AUX LUTTES CONTRE L'AUSTERITE !

    Avec Hollande, c'est reparti comme du temps de Sarkosette.


    Autrefois, les syndicats étaient respectés et redoutés du patronat qui nous insulte en nous traitant de "partenaires sociaux", appellation ridicule et méprisable.


    Pas besoin de citations bourgeoises et pompeuses, pas besoin de "brosse à reluire", pour désigner les représentants syndicaux des travailleurs.


    Jamais la CGT n'aurait du se prêter à cette mascarade qui a débouchée depuis une flopée d'années sur des termes équivoques, pour anesthésier le monde du travail.


    Désormais, un travailleur est un "collaborateur". On a droit aussi à toute une ribambelle de "Grenelle" de ceci, de "Grenelle" de cela, le tout repris en coeur par les chantres du syndicalisme et de la politique politicienne.


    Il n'existe qu'un seul Grenelle, celui issu de la grève mémorable de mai-juin 68.


    C'est quoi toutes ses salades indigestes que les gouvernements de droite comme de "gauche" font avaler aux travailleurs.


    Ainsi,  le Xavier Bertrand, de l'UMP, a trouvé en la personne du beau Sapin un successeur pour enfumer les cerveaux déjà en phase de formatage avancée.


    Le président PS, grand spécialiste de la "langue de bois", a tracé sa feuille de route et s'affaire autour de SA réforme du marché du travail, de laquelle la classe ouvrière n'a rien à attendre.


    Revoilà l'achat des travailleurs, mode esclavage moderne.

    Le cirque des négos de bouts de chandelles, est relancé. L'aiguillage sur une voie de garage, c'est reparti. Le train des luttes remisé au dépôt.
     

    Le président mou des genoux a procédé à un replâtrage pour hausser le ton et faire rigoler les patrons du MEDEF.
     

    Parisot fait semblant de fulminer mais, pas de soucis, une brochette de dix ministres socialistes a fait le déplacement aux frais du contribuable aux assises du MEDEF, pour amuser la galerie.
     

    Le coup d'envoi des négos par le président Hollande, c'est du pipeau.
     

    Pour mettre en place sa réforme  profonde du marché, le beau Sapin, ministre du Travail, appelle les "hautes sphères" du syndicalisme, à faire preuve d'"audace", à un "équilibre gagnant-gagnant", entre protection des salariés et souplesse laissée aux entreprises, avec, entre autres, une des perles dignes de figurer dans la mare aux canards du Canard enchainé, "améliorer les procédures de licenciements collectifs", comme si être lourdé de son emploi faisait plaisir.
     

    Hollande "oublie" d'évoquer les licenciements boursiers. Des usines qui ferment pour aller s'installer ailleurs où la main-d'oeuvre est moins chère, c'est sans importance.
     

    Méprisant est le hollandais à l'encontre des travailleurs qui se retrouvent sur le carreau ou sont en passe de l'être.
     

    Les thèmes retenus sont "pertinents", a estimé le sieur Laurent Berger, secrétaire général adjoint de la CFdT.
     

    Bon, vous avez tous compris que rien de bon ne va sortir des parlottes de salons et que les travailleurs, à la base, vont devoir faire preuve d'impertinence mais, c'est pas tout, les critiques ne  remédient pas aux maux de la classe ouvrière.
     

    Un seul argument pour combattre la démagogie de la politique du pire et foutre un grand coup de savate dans ce nid de frelons syndical en sommeil :

    DRAPEAU ROUGE EN TETE,

    LA LUTTE! LA LUTTE! LA LUTTE!

     

    Jacques Tourtaux
    Militant cheminot retraité CGT


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