• Stop aux discussions stériles pronées par la gauche caviar.

    STOP AUX DISCUSSIONS STERILES PRONEES PAR LA GAUCHE CAVIAR. L'URGENCE POUR LA CLASSE OUVRIERE, C'EST D'OEUVRER POUR METTRE SUR LES RAILS LE TRAIN DES LUTTES !

    LES NEGOS BIDONS, ON N'EN VEUT PLUS !

    PLACE AUX LUTTES CONTRE L'AUSTERITE !

    Avec Hollande, c'est reparti comme du temps de Sarkosette.


    Autrefois, les syndicats étaient respectés et redoutés du patronat qui nous insulte en nous traitant de "partenaires sociaux", appellation ridicule et méprisable.


    Pas besoin de citations bourgeoises et pompeuses, pas besoin de "brosse à reluire", pour désigner les représentants syndicaux des travailleurs.


    Jamais la CGT n'aurait du se prêter à cette mascarade qui a débouchée depuis une flopée d'années sur des termes équivoques, pour anesthésier le monde du travail.


    Désormais, un travailleur est un "collaborateur". On a droit aussi à toute une ribambelle de "Grenelle" de ceci, de "Grenelle" de cela, le tout repris en coeur par les chantres du syndicalisme et de la politique politicienne.


    Il n'existe qu'un seul Grenelle, celui issu de la grève mémorable de mai-juin 68.


    C'est quoi toutes ses salades indigestes que les gouvernements de droite comme de "gauche" font avaler aux travailleurs.


    Ainsi,  le Xavier Bertrand, de l'UMP, a trouvé en la personne du beau Sapin un successeur pour enfumer les cerveaux déjà en phase de formatage avancée.


    Le président PS, grand spécialiste de la "langue de bois", a tracé sa feuille de route et s'affaire autour de SA réforme du marché du travail, de laquelle la classe ouvrière n'a rien à attendre.


    Revoilà l'achat des travailleurs, mode esclavage moderne.

    Le cirque des négos de bouts de chandelles, est relancé. L'aiguillage sur une voie de garage, c'est reparti. Le train des luttes remisé au dépôt.
     

    Le président mou des genoux a procédé à un replâtrage pour hausser le ton et faire rigoler les patrons du MEDEF.
     

    Parisot fait semblant de fulminer mais, pas de soucis, une brochette de dix ministres socialistes a fait le déplacement aux frais du contribuable aux assises du MEDEF, pour amuser la galerie.
     

    Le coup d'envoi des négos par le président Hollande, c'est du pipeau.
     

    Pour mettre en place sa réforme  profonde du marché, le beau Sapin, ministre du Travail, appelle les "hautes sphères" du syndicalisme, à faire preuve d'"audace", à un "équilibre gagnant-gagnant", entre protection des salariés et souplesse laissée aux entreprises, avec, entre autres, une des perles dignes de figurer dans la mare aux canards du Canard enchainé, "améliorer les procédures de licenciements collectifs", comme si être lourdé de son emploi faisait plaisir.
     

    Hollande "oublie" d'évoquer les licenciements boursiers. Des usines qui ferment pour aller s'installer ailleurs où la main-d'oeuvre est moins chère, c'est sans importance.
     

    Méprisant est le hollandais à l'encontre des travailleurs qui se retrouvent sur le carreau ou sont en passe de l'être.
     

    Les thèmes retenus sont "pertinents", a estimé le sieur Laurent Berger, secrétaire général adjoint de la CFdT.
     

    Bon, vous avez tous compris que rien de bon ne va sortir des parlottes de salons et que les travailleurs, à la base, vont devoir faire preuve d'impertinence mais, c'est pas tout, les critiques ne  remédient pas aux maux de la classe ouvrière.
     

    Un seul argument pour combattre la démagogie de la politique du pire et foutre un grand coup de savate dans ce nid de frelons syndical en sommeil :

    DRAPEAU ROUGE EN TETE,

    LA LUTTE! LA LUTTE! LA LUTTE!

     

    Jacques Tourtaux
    Militant cheminot retraité CGT


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :