• Les ArcelorMittal au QG de Sarkozy

     

    Les ArcelorMittal au QG de Sarkozy

     

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    Les ArcelorMittal au QG de Sarkozy

     
    Ce matin, les ArcelorMittal ont pris le chemin de Paris à bord de 4 bus pour piquer-niquer devant le QG de Nicolas Sarkozy. Arrivée à midi. 200 gendarmes mobiles sont postés sur les lieux. Nicolas Sarkozy ne les recevra pas. il a quitté tout à l'heure les lieux, avant l'arrivée des ArcelorMittal, expliquant qu'il devait partir pour la Marne et qu'en raison de ce déplacement, il ne pouvait attendre les métallos. Il a répété qu'il les recevrait lundi à l'Elysée.

    Nicolas Sarjkozy a rappelé la proposition portant sur les 17 M€ auxquels s'ajoutent 2M€. " C'est une proposition concrète". En résumé : il ne proposera rien d'autre lundi aux ArcelorMittal.

    12 h 10  Les ArcelorMittal sont arrivés près du QG de campagne de Nicolas sarkozy. Mais les forces de l'ordre ont bloqué la rue et l'ambiance est particulièrement tendue.

    12 h 15 Les forces de l'ordre font usage de gaz lacrymogène.

    12 h 50 Accueillis avec des gaz lacrymogènes "pratiquement à leur descente de bus", les manifestants d'ArcelorMittal ont décidé de ne pas se rendre à l'Elysée lundi. C'est tout au moins ce qu'ont indiqué des représentants syndicaux CFDT et CGT. Les manifestants, après le face à face avec les forces de l'ordre se sont installés devant les gendarmes mobiles, qui leur interdisent l'accès vers le QG de campagne de Nicolas Sarkozy, pour pique-niquer

    13 h 45. Les ArcelorMittal qui, après leur accueil près du QG de campagne de Nicolas Sarkozy  avec des gaz lacrymogènes, refusent d'aller à l'Elysée lundi se dirigent vers la Tour Eiffel. Ils veulent y déployer une banderole. Aux cris de «merci Sarko», «travaillez plus pour gazer plus», les salariés de Florangeavaient l’intention de déployer une banderole proclamant «l’acier lorrain vivra».
    Ils ont indiqué aussi vouloir se rendre à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) au siège d’ArcelorMittal France. Par ailleurs, après la CGT et la CFDT, FO a fait savoir à son tour qu’elle n’irait pas non plus à l’Elysée lundi pour y rencontrer Nicolas Sarkozy.

    14 h 25 : La préfecture refuse qu'une banderole soit déployée sur la Tour Eiffel. Colère des métallos.

     

     

     

    15 h : Le syndicaliste E. Martin : "On nous laisse à terre. Voilà la réponse de l'Etat".

    15 h 50 Les délcarations de Nicolas Sarkozy sur iTélé ("les vrais salariés de Florange sont les bienvenus lundi ou un autre jour" ont évidemment provoqué la colère des métallos. réponse des syndicats : "La CGT et la CFDT représente 75 % des salariés d'Arcelor Mittal Florange.

    15 h 55 : Les émtalos qui, faute de feu vert de la préfecture de Paris, ont déployé sous la tour Eiffel leur banderole "Oui à l'acier" lorrain, s'apprêtent à quitter Paris.

    17 h 25 Le député UMP Damien Meslot, porte-parole adjoint de Nicolas Sarkozy, a demandé jeudi au candidat PS François Hollande de «condamner les actions violentes» des syndicalistes d’ArcelorMittal, après les incidents survenus devant le QG de campagne du président-candidat. «Non seulement ces syndicalistes débarquent à Paris sans rendez-vous pour voir Nicolas Sarkozy, mais ils ont refusé le rendez-vous fixé lundi prochain à l’Elysée par Nicolas Sarkozy pour les recevoir», dénonce le député du Territoire-de-Belfort dans un communiqué. «Cette opération coup de poing menée par une poignée de syndicalistes d’ArcelorMittal est honteuse»,.

    18 h Interrogé sur les échauffourées avec les ArcelorMittal et l'usage de gaz lacrymogènes, Nicolas Sarkozy a répondu à un journaliste: "Qu'est-ce que j'en ai à foutre de ce que vous me dîtes ?"Puis d'ajouter : "Couillon, va !"  avant d'essayer de se rattraper auprès du dit journaliste.


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