La première vague d’immigration incontrôlée commença dès le milieu des années quatre-vingt, avec le débarquement massif de milliers de frontistes nationalistes sur notre sol. Ils avaient les cheveux rasés, et habitaient dans des paquebots chauffés aux flammes tricolores. Bref, impossibles à intégrer ! Aveuglés par d’obscures superstitions qu’ils voulaient imposer en France, les lepénistes s’accouplaient comme des forcenés dans de vastes bénitiers. Résultat : avec leur démographie de léporidés NDR : mammifères à grandes oreill..., ils constitueraient aujourd’hui au bas mot 15-20% de la population générale. Et ils continuent de forniquer.

La deuxième vague s’abattit au tournant des années 1999-2000. D’abord peu nombreux, les sarkozistes se propagèrent en France à coups de regroupements familiaux abusifs (par la technique des mariages en cascade) et d’entrées clandestines dans les corps de l’Etat.

 

Venus de toutes parts, et à force de reproductions accélérées, ils atteignirent le pic effrayant des 30% de la population française lors du grand recensement de mai 2007. Aujourd’hui, la communauté sarkozyque a tendance à décroître, mais elle reste encombrante, bruyante et remuante. Dans certaines banlieues, comme à Neuilly, elle a pratiquement supplanté la population française traditionnelle.

Et on n’est qu’au début de la troisième vague, qui s’annonce encore plus redoutable que les précédentes. Elle est le résultat d’une politique de croisements systématiques entre les descendants des deux vagues précédentes. Sarkozystes et lepénistes, en effet, copulent comme des diables à l’arrivée de chaque échéance électorale. La déferlante est telle que certaines populations écologistes, pourtant de tradition française, ne dédaignent pas leurs soutiens, surtout quand il s’agit de faire la peau aux communistes.

Et alors quoi ? Il a raison sur toute la ligne le camarade Guéant. On n’est plus chez nous en France. Et la seule solution, c’est de foutre dehors toute cette racaille réactionnaire qui nous a envahis. L’expulsion par les urnes, voilà qui est déjà mieux.

 

Glop le rouge
Secrétaire de section