• AGEN : LA HONTE ! SIX MOIS SANS SALAIRE..pour ce "TERRORISTE" ? ça va pas la tête ?
    de : A.C
    vendredi 30 septembre 2011 - 18h58

     

    LE FIGARO a les titres de sa classe :

    L’agresseur de Sarkozy mis à pied 6 mois

    Oui, plumitifs de l’ordre bourgeois,c’est un dangeraux kamikaze qui a osé prendre par l’épaule bourrée de tics et durant 4 secondes , SS SARKO 1° (Sa suffisance)..en visite chez les manants d’Aquitaine..

    Le conseil de discipline de la fonction publique territoriale d’Agen a proposé deux ans de mise à pied dont 18 mois avec sursis à l’encontre d’Hermann Fuster, l’homme qui avait violemment agrippé Nicolas Sarkozy lors de sa visite le 30 juin à Brax, dans le Lot-et-Garonne. Lors de sa comparution devant le tribunal correctionnel, le 1er juillet, Hermann Fuster, 33 ans, employé municipal agent d’accueil au conservatoire de musique de la ville d’Agen, avait été condamné à six mois de de prison avec sursis.

    L’avis du conseil de discipline, rendu après cinq heures de débats entre quatre élus municipaux, quatre délégués du personnel et présidé par un magistrat du tribunal administratif de Bordeaux, est simplement consultatif, la décision appartenant au maire d’Agen, Jean Dionis du Séjour (NC).

    "Oui il y a double peine, ça fait partie du statut de la fonction publique", a réagi le 1er adjoint au maire en charge du personnel qui siégeait au sein du conseil de discipline. "Cette procédure disciplinaire fait partie des contraintes de la fonction publique", a-t-il dit, estimant qu’"un fonctionnaire à un devoir de réserve et d’adhésion au principe républicain". Selon lui, "le geste d’Hermann Fuster a porté atteinte à l’image de la ville" car "il y a eu dans cette affaire un buzz médiatique colossal".

    Hermann Fuster s’est de son côté dit "abasourdi" par cette décision. "Vous imaginez six mois sans salaire c’est long et ça fait beaucoup pour ce que j’ai fait", a-t-il dit. L’avocat de M. Fuster, qui espérait "du sursis intégral", a indiqué s’en "remettre à la clémence" du député maire d’Agen qui reçoit M. Fuster lundi et devrait lui faire part de sa décision.

    "On se raccroche à cet espoir là car on pense que le principe de proportionnalité n’est pas respecté", a déclaré Me Laurent Bruneau, estimant que son client "n’a pas manqué à son devoir de réserve dans la mesure où l’acte qui a posé problème n’est pas un acte militant ni politique".

    Carol Dubois, secrétaire CGT des territoriaux d’Agen qui siégeait au conseil de discipline a jugé "la décision complètement disproportionnée" tandis qu’une trentaine de personnes a manifesté son soutien à M. Fuster devant le bâtiment où se tenait le conseil de discipline. .

    VITE VITE. A vos messageries, vos SMS !

    on peut pas en rester à une protestaion de 30 mecs !

    Il faut EXIGER que cette proposition de sanction soit ANNULEE !

    6 Mois sans salaire, pour plaire, agenouillés, à un des convives préférés de mamie Bettancourt et autres friqués du Fouqet’s !!!

    Et on laisserait faire !??

    VITE VITE. A vos messageries, vos SMS Il faut EXIGER que cette proposition de sanction soit ANNULE ! si je me plante pas

    Le maire c’est Jean DIONIS DU SÉJOUR, un clone de Borloo, un de ces élus du"marais"...

    Faut le REVEILLER !

    la mairie c’est le- 0553878264 ...

    http://www.agen.fr/1-37844-Ecrire-a... permet de faire un mail au MAIRE

    Ecrire à un élu

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    Sénat, Victoire avec un grand P

     
    Au petit jeu du "qui perd gagne", les qualificatifs ne manquent pas dans les propos des commentateurs qui font du résultat des élections sénatoriales un événement extraordinaire, un tsunami, un tremblement de terre politique...
    Il est vrai que depuis un demi siècle dans la forme que la constitution de 1958 avait déterminée pour remplacer le Conseil de la République, le Sénat avait toujours été orienté à droite. c'est d'ailleurs une constante dans l'histoire de cette assemblée créée en 1795 sous la Convention thermidorienne ; elle a surtout servi les pouvoirs autoritaires en les protégeant des aléas du résultat des consultations électorales au suffrage direct.
    Depuis longtemps celles et ceux qui veulent redonner à la République Française un visage et des pratiques démocratiques préconisent la suppression de cette seconde chambre parlementaire. Cette mesure institutionnelle devrait bien sûr s'accompagner d'une refonte redonnant au parlement un véritable rôle législatif, le sortant de son triste état de chambre d'enregistrement des volontés de l'exécutif, et de la révision de la Présidence de la République dans ses prérogatives et jusqu'à son mode d'élection.
    Mais, paradoxalement, cette perspective de nouvelle République risque de s'éloigner avec le basculement du sénat à gauche dimanche dernier. La gauche, essentiellement les socialistes vont justement en faire un levier de contre-pouvoir face à la pratique hégémonique de l'UMP en Sarkosie ; et de ce fait ils l'intégreront dans la panoplie nécessaire d'une alternance droite dure - gauche molle dan s un bipartisme effaçant du paysage politique français toutes les voix discordantes promotrices d'un réel changement démocratique. Cette "américanisation" de la vie politique française est d'ailleurs tellement avancée que les "primaires socialistes" s'en voudraient une forme d'aboutissement.


    La remise en cause du Sénat dans notre paysage institutionnel n'est pas très à la mode dans un temps où la vie politique est accaparée par les élus. Les sénatrices et les sénateurs en étant la quintessence, ils ne peut qu'être vénéré. Et pourtant dans un temps où la simplification est à la mode quelques populistes bien démago pourront toujours évoquer l'économie conséquente que représenterait la perte de la "Haute Assemblée" privant les élus élus des élus d'un complément de retraite apprécié. Ce n'est pas sur ce terrain que le débat devrait s'embourber; l'inutilité du sénat dans notre paysage institutionnel est indissociable du rétablissement d'un véritable pouvoir législatif rendu à l'Assemblée Nationale.


    Jack Ralite quitte le Sénat, c'est un sénateur communiste de moins pour la Seine Saint-Denis et quand la sénatrice réélue, Eliane ASSASSI se félicite de la progression du Front de Gauche, elle omet de souligner que ce résultat est si brillant qu'il donne un sénateur supplémentaire au Parti Socialiste au détriment des communistes dans ce département bastion du communisme il n'y a pas si longtemps.
    La puissance intellectuelle et la profondeur des convictions de Jack Ralite manqueront assurément au débat politique.
    Il en va de même avec le commentaire d'autosatisfaction de Pierre Laurent qui souligne la dynamique du "Front de Gauche" en renvoyant au "mode de scrutin" la responsabilité de la perte de quatre sénateurs, réduisant le groupe CRC-SPG à 21  au lieu de 24 (moins 4 et plus 1) grâce au gain d'un élu dans le Morbihan.
    Lors des élections régionales nous avions d'ailleurs pu de la même façon nous féliciter de la progression du Front de Gauche en Auvergne et vanter sa stratégie tout en constatant la perte d'un siège de conseiller régional communiste dans l'Allier. Le progrès du Front de Gauche est un progrès qui fait rage.
    La grande satisfaction de voir le sénat basculer à Gauche à sept mois des échéances du printemps prochain, encourageant sur le front de l'affaiblissement de la droite sarkoziste, ne doit pas effacer pour autant le risque que ce succès contient en germe du renforcement du bi-partisme et l'élimination du paysage politique d'un parti communiste fondu dans la nébuleuse du Front de Gauche dont l'identification réduite à Mélenchon minore encore la portée.

    Sénat : Feu vert à droite

     
    Ca n'a pas tardé ! Sitôt élu le nouveau sénateur EELV de l'Essonne, Jean Vincent PLACE propose que la présidence de la commission des finances du Sénat soit offerte à l'opposition ! Retour d'ascenseur que cet élu écolo propose à l'UMP en écho à la nomination du socialiste Jérôme Cahusac à la présidence de la commission des finances de l'Assemblée Nationale par Sarkozy.
    A écouter Valls, Hollande ou Aubry dans leur chamaillerie des primaires socialistes, à voir cette proposition des écolos obligés du PS pour leur avoir offert une dizaine de sièges de sénateurs, la certitude d'avoir vu le sénat virer à gauche dimanche dernier ne peut que s'estomper pour céder la place à l'hypothèse d'une nouvelle étape dans son virage à droite.
    Les changements démocratiques dont notre pays a un besoin urgent ne se feront pas sous la bannière bleu - blanc - rose des petits arrangements politiciens concoctés entre les assoiffés du pouvoir qui n'en n'ont rien à faire des attentes populaires (voir les propos des socialistes sur la "dette publique" par exemple).
    Les électeurs de gauche vont-ils sortir de leur mauvais rêve  assez tôt pour échapper au cauchemar qui les attend ?
    Rien n'est moins sûr ! Et face à celà les tactiques attrape-tout du Front de Gauche qui s'affranchissent de l'exigeance idéologique qui conviendrait au combat gagnant face à la droite et aux renoncements de la social-démocratie plongent dans le plus profond désarroi une base militante de plus en plus coupée de ses élus auto désignés maîtres du jeu. La discalification des organisations politiques au profits de conglomérats aux formes floues a beau être parée des atours de la modernité, elle ne séduit que ceux qui en profitent.
    A force de concessions, même le débat idéologique devient difficile à poser.
    C'est un peu comme si Sarkozy avait réussi à imposer son modèle de fonctionnement à tous ses concurrents, les coupant de leurs propres ressources organisationnelles dans une forme de fuite en avant mortifère pour l'expression de l'intelligence politique collective de notre peuple.

          


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  • 29 sept - manifLe PC Grec (KKE) appelle à une désobéissance populaire organisée et de masse face à la nouvelle taxe prélevée sur les factures d'électricité

    Communiqué du Parti communiste grec (KKE)

    Traduction AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

    Ils sont des milliers à avoir participé hier aux manifestations organisées par les syndicats de classe à Athènes, Salonique et dans d'autres villes Grecques contre la nouvelle rapine fiscale qui conduit le peuple à la faillite. Les travailleurs, les chômeurs, les indépendants, les étudiants, les retraités rassemblés par leurs syndicats, leurs comités populaires dans les quartiers et les organisations de masse ont mis en avant le refus organisé de payer les impôts par tête en brûlant les injonctions de paiement et exigé que ce soient ceux qui ont engendré la crise qui soient mis en faillite, à savoir la ploutocratie et ses représentants.

     

    Il convient de noter que mardi après-midi la nouvelle loi sur la taxe foncière a été adoptée au parlement tandis que le gouvernement porte un nouveau projet de loi sur la fiscalité dans les intérêts de la ploutocratie. En fait, cette taxe sera intégrée à la facture d'électricité, avec la menace de coupures d'électricité pour ceux qui ne paient pas. En outre, les nouvelles mesures prédatrices comprennent un abaissement du seuil d'imposition à 5 000 euros – ce qui signifie que le seuil d'imposition est ramené à 357 euros par mois – la suppression des allègements fiscaux (ex : les frais de location), des hausses de la TVA, etc.

     

    Le Bureau de presse du Comité central du KKE note dans son communiqué : « La faillite incontrôlée des familles populaires est une réalité »et ajoute « Le saccage fiscal orchestré par le gouvernement est une nouvelle preuve que l'offensive anti-populaire n'est pas temporaire et s'intensifiera sans cesse. Les pauvres retraités qui n'ont que 400 euros par mois sont contraints à payer des taxes, des gens qui tentent de survivre avec des revenus inférieurs au seuil de pauvreté. Les travailleurs ne doivent posséder que le minimum, juste ce qu'il faut pour qu'ils puissent retourner au travail le lendemain. Tout le reste doit être rendu aux industriels, aux banquiers, aux armateurs...

    Dans le même temps, le gouvernement, après les réductions scandaleuses des taux d'imposition sur les profits du grand capital, envisage de nouvelles exonérations fiscales. Il a déjà annoncé la création de zones spéciales – des paradis fiscaux pour le grand capital, où l'imposition des profits serait diminuée et où il n'y aurait aucune convention collective. Cette ligne politique est la seule voie pour les monopoles. La seule voie pour le peuple est que la crise soit payée par le grand capital, qui contribue aujourd'hui à hauteur de moins de 2,8 milliards d'euros d'impôts par an, alors que le revenu fiscal global est de plus de 50 milliards d'euros. Les armateurs, banquiers et industriels doivent être imposés directement à une tout autre échelle.

    29 sept - elecLe seul et unique devoir du peuple est celui de relever la tête, de lutter pour ses droits. Chaque personne consciente au sein des couches populaires a comme responsabilité de refuser de payer ces injustes impôts par tête, de faire obstacle à la mise en œuvre de ces mesures barbares. De participer à la lutte organisée des ouvriers et des couches populaires sur les lieux de travail et dans les quartiers populaires afin qu'une forte alliance populaire se forme à partir des ouvriers et travailleurs, des travailleurs indépendants des villes et des champs, des jeunes, des femmes, pour le renversement du pouvoir des monopoles, pour la sortie de l'Union européenne devant aller de pair avec le pouvoir populaire. »

     

    L'activité visant à la mise en échec de cette ligne politique barbare continue avec la préparation de la grève dans le secteur public ainsi que dans les anciennes entreprises publiques le 5 octobre et la grève nationale, le 19 octobre.


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  • or-lingots-12.jpg

    La France et l'Autriche prennent des mesures pour interdire les achats anonymes d'or et limiter la détention d’or privée

    Les banques centrales ont tellement peur que des citoyens devenus trop méfiants avec l’euro ne convertissent leur épargne en métaux précieux que certains gouvernements ont pris des mesures pour empêcher l’achat anonyme d’or et d’argent.

    Le gouvernement autrichien a ouvert le bal en limitant les ventes de métaux précieux à l’équivalent de 20.000 dollars (environ 15.000 euros) à la fois, un montant qui autorise l’achat de 11 onces d’or, et le gouvernement français vient de lui emboîter le pas.


    « Toute transaction relative à l’achat au détail de métaux ferreux et non ferreux est effectuée par chèque barré, virement bancaire ou postal ou par carte de paiement , sans que le montant total de cette transaction puisse excéder un plafond fixé par décret. Le non-respect de cette obligation est puni par une contravention de cinquième classe. Nonobstant les dispositions du I, les dépenses des services concédés qui excèdent la somme de 450 euros doivent être payées par virement. », édicte la loi.


    A l’origine, le texte visait à lutter contre le trafic de métaux volés (rails de chemin de fer, plaques d’égouts, câblage électrique…). Cependant, il est remarquable que l’or et l’argent y aient finalement été inclus. Les citoyens qui souhaitent convertir leurs économies en or seront connus des autorités, et seront vulnérables à tout ordre de saisie par le gouvernement. Il y a déjà eu un précédent, puisqu’en 1933, au moment de l’abandon de l’étalon-or par les Etats Unis au sortir de la crise de 1929, le Président F.D. Roosevelt avait interdit la possession d’or aux Etats Unis, accusée d’aggraver la récession. Les détenteurs de métaux précieux furent contraints de les transférer en Suisse. Cette interdiction ne fut levée qu’en 1975.


    Quel est l’intérêt des gouvernements et des banques centrales de limiter la détention d’or privée dans le contexte actuel ? Pour certains analystes, cela s’explique par la répugnance des gouvernements à voir des gens conserver le pouvoir sur leur propre avenir économique.


    De plus, l’espoir généré par la création de la monnaie unique et d’une Europe fédérale s’est écroulé avec la crise de la dette. Les dirigeants européens, qui se préparent à l’éventualité de l’abandon de la monnaie unique, redoutent encore plus de voir les citoyens l’anticiper en échangeant leurs euros contre de l’or ou de l’argent. C’est encore plus vrai avec la France, qui est un pays clé au cœur de l’Europe.


    Enfin, la détention d’or échappe aux manipulations des banques centrales, et elles n’apprécient certainement pas de voir leur monopole leur échapper de cette manière.

    Express.be

    Sur Cri du peuple 1871 : http://www.mleray.info/article-commerce-de-l-or-85382151.html

     


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  • La Dépêche de l’Aube a eu de plus illustres ennemis

     

    L’article de Pascal Houplon sur le site d’Auboisement correct ne mériterait pas que l’on prenne le soin d’y répondre. C’est une muflerie qui n’a qu’un  but : assouvir sa haine des communistes.

     

     Seulement voilà, La Dépêche de l’Aube qu’il se permet de traîner dans la boue, c’est avant tout des hommes et des femmes, des militants respectés et respectables qui, chaque semaine, couchent sur le papier avec  cœur, leur colère, leur espérance, font circuler leur opinion, leurs idées et celles de leurs lecteurs. Ce sont des militants qui par tout les temps diffusent ce journal devant les usines, sur les marchés, dans les quartiers, ce sont nos « petites mains » du vendredi qui méticuleusement et avec motivation mettent une à une Les Dépêche de l’Aube sous bandes pour qu’elles arrivent dans la boite à lettre le samedi matin.

    Ils font, nous faisons,  de la politique au sens noble du terme, comme nous aimerions que tout le monde en fasse. Ils peuvent être fiers de leur action et voyez- vous monsieur Pascal Houplon, cela fait 80 ans que cela dure et cela durera encore longtemps, car il y a dans notre pays, encore beaucoup d’hommes et de femmes qui ne sont pas prêts  à se mettre à genoux devant ceux qui mènent le monde au bord du gouffre.

     

    Et oui M. Houplon les communistes, ne sont pas un épiphénomène de la vie politique française. Avoir des convictions, voyez- vous, monsieur Houplon cela permet au moins de durer. Certains d’entre ceux que vous méprisez résistaient déjà en des temps où être communiste menait directement au peloton d’exécution.

     

    Alors que l’on se comprenne bien. Les petites flèches lâchées par le procureur Houplon pourraient nous faire sourire s’il n’y avait pas dans ses écrits un manque de respect envers tous ces camarades et les valeurs qu’ils véhiculent. Pascal Houplon ne peut comprendre, il n’a aucune conviction, il retourne sa veste à chaque élection ; il n’a aucune mémoire : candidat aux dernières élections cantonales, au deuxième tour, il  a renvoyé dos a dos la conseillère générale communiste et le candidat raciste et xénophobe du FN.

     

    P. Houplon sait-il qu’il ne reste en France plus que deux véritables journaux d’opinion, l’Humanité et La Croix. Même le petit monarque de l’Elysée n’a pas remis en cause l’aide publique à la presse quotidienne à faible revenu publicitaire dont bénéficient ces deux titres. Du haut de son  tréteau P.Houplon les laisserait certainement crever de leur belle mort.

     

    La Dépêche de l’Aube a eu de plus illustres ennemis. Le président Poincaré par exemple. En novembre 1920, La Dépêche de l’Aube alignait en  une sur quatre colonnes : Poincaré fait poursuivre La Dépêche, La Dépêche lui répond MERDE.

     P. Houplon ne mérite même pas cet honneur.

     

    JP CORNEVIN

    Secrétaire départemental du PCF

     


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  • Consommer des produits locaux, promouvoir la richesse du terroir ou encore encourager le travail des agriculteurs de la région... Ce discours est connu : il est depuis plusieurs années celui des militants écologistes. Mais ces idées sont aujourd'hui récupérées, de l'autre côté de l'échiquier politique, par des groupuscules d'extrême droite... Leur objectif ? Gagner la sympathie des populations pour faire avancer le discours nationaliste, voire conquérir des mairies lors des prochaines élections municipales. En Côte-d'Or, la commune de Thorey-en-Plaine, au Sud de Dijon, a découvert récemment que l'association de promotion des produits locaux "Cercle grevelon" avait un arrière-plan politique : celui du Bloc identitaire, connu pour ses positions radicales contre l'islam et le multiculturalisme... Lire la suite sur le site  La Tête au Carhaix !


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  • C’est ça, le Capitalisme : profiter de toutes les opportunités ! Les négriers aussi se contentaient de "profiter " de l’esclavage ...

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    Les Héritiers de BMW sont particulièrement cyniques, leur grand-père était seulement de son temps, et une partie des profits réalisés sur les cadavres des esclaves sera consacré à la restauration de baraquements et à la création d’un centre de documentation sur le travail forcé :


    (lu sur Europe1.fr Marie-Laure Combes)

    BMW SOLDE SON PASSE NAZI

    Les héritiers de l’entreprise veulent tirer un trait sur les relations de leurs ancêtres avec le IIIème Reich.

    Pas "victime des nazis" mais pas "collaborateur" non plus. Les héritiers de la famille Quandt, à la tête de plusieurs entreprises allemandes dont BMW, ont décidé d’enquêter et de révéler la vérité sur le passé de leur grand-père, Günther Quandt. Pour enfin tourner la page. Des travailleurs forcés dans les usines familiales

    Chez les Quandt, le trouble est venu d’un documentaire sur Günther, le fondateur de la dynastie. Les héritiers ont alors ouvert leurs archives familiales à un historien, chargé de démêler le vrai du faux. Au cours de son enquête, Joachim Scholtyseck a mis au jour que Günther Quandt avait employé dans ses usines plus de 50.000 travailleurs forcés - prisonniers de guerre et des camps de concentration - pour fabriquer des armes et des batteries, dans des conditions de sécurité effroyables, au service du régime nazi.

    L’historien a également découvert que Günther Quandt avait profité de la politique d’"aryanisation" pour étendre son empire en reprenant des entreprises qui appartenaient à des juifs.

    "Notre grand-père n’était pas un antisémite. Pas un nazi convaincu. Pas un va-t-en-guerre", se défend Stefan Quandt, l’un de ses petits-fils, dans une interview au quotidien Die Zeit . "Il a profité des possibilités que le système offrait"

    Pour son héritier, Günther Quandt ne faisait pas partie du "régime nazi" mais du "système nazi". "J’associe le mot ’régime’ à une direction politique, à laquelle il n’appartenait pas. Il a simplement profité des possibilités que le système offrait aux industriels, mais dont il n’a jamais suivi les buts idéologiques", justifie-t-il.

    Le père de Stefan Quandt, Herbert, aurait lui aussi utilisé des travailleurs forcés dans une de ses usines à Strasbourg et même chapeauté la construction d’un baraquement pour des prisonniers de camps de concentration à Sagan, dans l’actuelle Pologne, a pu établir Joachim Scholtyseck.

    Un travail historique qui permet aujourd’hui aux héritiers de solder le passé. Les Quandt ont annoncé qu’ils allaient soutenir un centre de documentation sur le travail forcé et financer la rénovation de deux baraquements , dans lesquels ces travailleurs étaient installés à Berlin.


    NOTE de pilhaouer :

    A cette époque, grand-père QUANDT ne finançait pas de retraite à 67 ans, les temps étaient durs pour les entrepreneurs, voyez-vous, et il y avait d’autres solutions.

    Wikipedia : En novembre 2007, la Norddeutsche Rundfunk a présenté le film Das Schweigen der Quandts (Le Silence des Quandt). Le film montre des centaines de prisonniers devenus incapables de travailler après avoir servi dans l’usine d’accumulateurs des Quandt à Hanovre-Stöcken (ex Varta) et logés dans une succursale du camp de Neuengamme. Ils furent déportés à Gardelegen et y furent assassinés dans la grange d’Isenschnibbe.

    Le film (en allemand) : http://www.youtube.com/watch?v=shkg...

    de : pilhaouer


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  • LE HYARIC Patrick FR

    Patrick Le Hyaric

     

    Décidément cette Europe a un visage hideux. Elle n’a pas de cœur. Son credo est celui de l’argent, de la concurrence entre les êtres humains. Celui de la spéculation contre le bien être général.

    Une fois de plus la semaine dernière, une réunion du Conseil européen des ministres de l’agriculture s’est terminée par la confirmation de la réduction de 480 millions d’euros à 113 millions du plan européen d’aide alimentaire aux plus démunis qui permet à près de huit millions de personnes d’avoir quelques denrées alimentaires pour manger. 480 millions d’euros c’est moins d’un euro par citoyen européen.

     

    L’Europe sociale n’existe pas. Non contente d’appliquer des orientations qui provoquent délocalisations, chômage, précarité, pauvreté, voilà qu’elle décide de laisser ses victimes sur le bord de la route, sans rien ! Elle est prête à supprimer 387 millions d’euros pour venir en aide aux pauvres, alors qu’elle met plus de 440 milliards d’euros pour garantir les banques européennes qui font du profit en spéculant sur les dettes de la Grèce, du Portugal, de l’Italie ou de l’Irlande. Il n’y a pas d’argent pour les affamés que cette Europe du capital produit, mais on en trouvera dans quelques jours pour recapitaliser les banques qui nous mettent à genoux.


    L’argument invoqué pour diminuer cette aide est qu’elle ne doit plus relever du budget de la Politique agricole commune parce que, paraît-il, il n’y aurait pas d’excédents alimentaires. A voir ! En effet, il existe toujours bien des subventions aux restitutions qui, elles, profitent aux magnats de l’agro-business exportateurs. Mais, même dans le cas où le programme européen d’aide alimentaire ne doive plus relever du budget agricole, pourquoi ne met-on pas en place un programme de « cohésion sociale pour l’aide alimentaire aux plus démunis » ? Les peuples européens n’acceptent pas, à raison, que les plus fortunés se vautrent dans l’argent, le luxe et la spéculation pendant que des millions de personnes n’ont pas de quoi manger ou se loger.

    Le combat pour la justice doit s’élargir et s’amplifier. Aucun humaniste ne peut comprendre les orientations actuelles de cette Europe dont les peuples se détournent de plus en plus.


    Plus généralement, pendant que le monde des affaires multiplie les affaires juteuses, le monde du travail et des retraités ne cesse de souffrir. Ainsi, il est démontré que, l’an passé, chaque française ou français a dépensé 95 euros de plus qu’en 2006 pour sa santé. Les coûts pour se soigner augmentent deux fois plus vite que les revenus. Et la taxation à venir des complémentaires santé et des mutuelles, comme le déremboursement de près de deux cent médicaments supplémentaires, va encore alourdir sérieusement les coûts pour se soigner.


    Avec le pouvoir actuel et l’Europe de l’argent, c’est le retour un siècle en arrière pour les peuples. Par contre, c’est toute l’année noël pour les puissants et les riches. Ceux dont on voit depuis des semaines qu’ils  ont transformé notre République à la belle devise de Liberté, Égalité, Fraternité en République des mallettes pour conquérir le pouvoir et tenter de le garder.


    Le vote des grands électeurs faisant basculer pour la première fois, le Sénat à gauche depuis le début de la cinquième République, fait mesurer l’ampleur du discrédit du sarkozysme et l’aspiration à un autre pouvoir.

     Patrick Le Hyaric


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  • Du rôle particulier des classes et des couches socialesdu rôle particulier des classes et des couches sociales

     

    Voulez-vous une illustration du rôle particulier des classes et des couches sociales ?

     

    En voilà une qui nous arrive d’Italie : alors que l’ensemble des partis représentés au sénat et à la chambre des députés italiens ont sombré depuis plusieurs années dans le libéralisme le plus profond, au point que le Président de la République italienne, Napolitano, ex-communiste, se soit félicité devant elles du vote unanime du Traité de Lisbonne, une force a rapidement surgi pour commencer à faire le chemin inverse, la F.I.O.M.

     

    Qu’est-ce que la F.I.O.M. ? C’est la fédération de la métallurgie de la C.G.I.L. (Confédération Générale des Travailleurs Italiens). Elle a organisé à la suite des accords de collaboration de classe (emploi contre salaires) signés par les autres confédérations syndicales, une manifestation à Rome et y a rassemblé des dizaines de milliers d’italiens, travailleurs ou non, opposés au libéralisme du gouvernement Berlusconi, de la Commission Européenne et de la classe politique qui la soutient de fait sous différentes formes.

    Cette manifestation a été le point de départ d’une reconquête du terrain idéologique perdu dans les 30 dernières années. Dans le vaste mouvement du salariat et de ses alliés qui se dessine en Europe, cela est d’une grande importance.

     

    Il faut noter que la F.I.O.M. a su être à l’écoute des ouvriers, à la  fois combative et patiente.

     

    Dans un premier temps, alors que les salariées et salariés toutes fonctions professionnelles confondues se laissaient prendre au piège du chantage « ou l’emploi ou les salaires et le temps de travail », la F.I.O.M. à su la fois a dénoncer ces manœuvres et entendre l’inquiétude des travailleurs.

     

    Cette attitude a payé et les débuts de luttes syndicales, politiques, citoyennes sur des positions de classe qui en sont induites sont porteurs d’unité des travailleurs dans leurs diversités et du travail dans sa diversité.

     

    Cette illustration nous vient d’Italie, mais il y en a bien d’autres d’ici et d’ailleurs. Par contre, on peut noter que la dérive à droite des forces politiques de gauche avec l’auto dissolution du Parti Communiste Italien (P.C.I.) connaît une opposition de plus en plus grande, alors que de-ci delà elle a tendance à vouloir s’imposer ailleurs. Pour cela aussi, c’est l’intervention de la classe ouvrière, même affaiblie, mais représentée dans l’organisation du salariat, non par je ne sais quelle intervention miraculeuse, mais par sa place dans les appareils productifs nationaux et internationaux, qui reste déterminante en grande partie.

     

    Pierre Assante,

    Ecrit pour intervention dans un débat à la Fête de l’Humanité, La Courneuve,  le 16 septembre 2011

     

    P.S. Dans les milieux dirigeants du capital, y compris sous des formes social démocrates, l’affirmation publique et accentuée de positions contestant la dérégulation se manifeste.

     

    On peut dire cependant que ces positions qui pourraient rappeler « quelque part » l’analyse marxiste ont un manque cruel concernant celle-ci : ce qui leur manque c’est la lutte des classes. Evidemment « on » voudrait bien que « ça s’arrange » au niveau de la crise, mais que les salariés restent « à leur place » et qu’ils soient convaincus, se laissent convaincre des vertus des plans d’austérité et des montages des spécialistes ad hoc, le B20 en étant une des dernières manifestations.

     

    B20 : préparation (à l’initiative du MEDEF) du G20 par les représentants des monopoles de la finance, des entreprises multinationales, accompagnés d’experts politiques et autres préparant une gouvernance mondiale dont les Etats Nationaux ne seront plus que de simples relais excluant les conquêtes sociales acquises dans le cadre de ces Etats.

    Peut-on exprimer des points de vue révolutionnaires dans cette organisation ? Depuis longtemps les classes dominantes évitent de réunir des « Etats Généraux » dans lesquels le « Tiers Etat » risque de leur poser de nouvelles difficultés. Mais enfin, on ne sait jamais….


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  • Une vidéo lors de l'assemblée des Communistes de la circonscription au Creusot

    Intervention de Jean Paul Armand


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